Panier: (Vide)

Panier  

Aucun produit

0,00 € Expédition
0,00 € Taxes
0,00 € Total

Les prix sont TTC

Panier Commander

https://www.celsedit.com/761-thickbox_default/laventure-de-la-digitalisation-dans-le-transport-de-personnes.jpg Maximize

L’aventure de la digitalisation dans le transport de personnes

Michel GALLET

28,00 € TTC

TE1717

Version numérique

L'auteur
Michel GALLET, qui a publié deux ouvrages aux éditions Celse sur la relation client et le revenue management dans le transport terrestre, tente de passer en revue et d’apporter des éléments de réponse à ces questions, en s’efforçant de maintenir le cap dans le foisonnement des nouveautés du secteur.

  • Auteur : Michel GALLET
  • Ouvrage publié en 2017
  • Editeur : Celse
  • 160 pages

Chapitre 1 : Les transports, leur environnement et leurs acteurs

Chapitre 2 : Les Autorités organisatrices : la course à la mobilité

Chapitre 3 : Les usagers/clients

Chapitre 4 : La doctrine des « parts modales »

Chapitre 5 : Les exploitants : d’abord au service des collectivités

Chapitre 6 : L’évolution : offre et demande

Chapitre 7 : Outils et données

Chapitre 8 : La voiture individuelle...

Chapitre 9 : L’auto-partage

Chapitre 10 : Le co-voiturage

Chapitre 11 : Le transport public

Chapitre 12 : Les nouveaux acteurs

Chapitre 13 : L’Open Data, l’ouverture des données publiques

Chapitre 14 : Les étapes de la digitalisation
dans les transports 

On avait bien expliqué, on rêvait. On rêve peut-être encore d’un monde des transports terrestres blanc et noir. D’un côté le transport public administré, de l’autre le transport privé, voiture et « modes doux »

L’heure du réveil aurait-elle sonné ? les ressources financières s’amenuisent, les opérateurs se trouvent de plus en plus pris dans les « ciseaux » des recettes de trafic qui stagnent et des charges qui augmentent.

La solution ne viendrait-elle pas d’un transport public/privé, d’une mutualisation, de la voiture individuelle sous-occupée, bientôt autonome, et des partages divers en complément, en remplacement d’une partie du  transport public administré ?

Mais qui prescrira alors, et à qui reviendra la création de valeur ?

Le jackpot reviendra-t-il à l’opérateur industriel, à l’organisateur qui fournit les « tuyaux » de la commande et du back office aux  co-voitureurs aux locations diverses, aux trajets en  bus, en métro ? Ou  aux inter médiateurs qui organiseront les déplacements et s’imposeront aux opérateurs comme ils le font dans l’hôtellerie ? Sans oublier les bénéficiaires des profits annexes que promet  le Big Data ?